Le rapport d’activité 2023

A propos de la gestion du fonds

  • Modifications de la composition du Comité de gestion

Lors de la réunion du Comité de gestion du 14 septembre, Emmanuël Bonami (Président – CNE) et Stéphane Piron (Secrétaire – SETCa) ont cédé leur mandat respectivement à Marc Scius et Rudy Pirquet. Le Comité de gestion a ensuite désigné Grégory Bueken (FEAS) Président, Maximilien Herry (CGSP) Vice-président, Marc Scius (CSC) Trésorier et Françoise Havelange (FEAS) Secrétaire.

Les autres mandats sont reconduits, à savoir ceux de Dominik Roland (CGSLB), Vinciane Convens (CNE), Joëlle Keppenne (FEAS) et France Morin (FEAS).

La mandature de 4 ans se termine en mai 2026.

  • Le Comité de gestion s’est réuni à 10 reprises au cours de l’année 2023, aux dates suivantes :
    • 24 janvier 2023
    • 28 février 2023
    • 30 mars 2023
    • 25 avril 2023
    • 23 mai 2023
    • 27 juin 2023
    • 14 septembre 2023
    • 12 octobre 2023
    • 9 novembre 2023
    • 4 décembre 2023
  • Les lignes de force de 2023 et le nombre de bénéficiaires en croissance importante

L’année 2022 avait donné lieu à une reprise progressive de la mise sur pieds de formations, après des exercices 2020 et 2021 fort perturbées. En effet, ce n’est qu’après l’été que l’activité s’était densifiée. La croissance attendue pour l’année 2023 s’est confirmée puisque le nombre de bénéficiaires a plus que triplé. Presque toutes les actions, individuelles ou collectives, ont progressé pour porter le nombre de personnes touchées à 325.

Une explication que nous pouvons avancer est le gain en termes de notoriété du Fonds. Le Fonds a démarré ses activités à la fin de l’année 2019 et, même si son image doit encore être développée, sa reconnaissance tant auprès des travailleur·euse·s que des opérateurs de formation s’est renforcée. Si les formations sectorielles proposées par les fédérations professionnelles continuent de progresser lentement, ce sont les formations spécialisées qui font un bond puisqu’elles triplent en nombre. C’est important à souligner car le contact est pris à l’initiative des opérateurs eux-mêmes qui souhaitent faire partie de l’offre du Fonds, parfois stimulés par des personnes intéressées par les formations en question. A noter aussi l’apparition d’opérateurs français.

Enfin, le Fonds s’est érigé lui-même en opérateur de formation lui-même, sur des thématiques aux enjeux sectoriels forts (les questions de genre mais surtout en lien avec la réforme du statut du travail des arts).

Élément notable s’il en est, la dotation du Fonds se situe en 2023 à un niveau jamais atteint. Avec les corrections qui seront apportées par l’ONSS, la barrière des 200.000€ pourrait être dépassée.

  • Le bilan comptable du Fonds

Les comptes annuels 2023 ont été contrôlés par le réviseur d’entreprises sur base du référentiel comptable applicable en Belgique. Le total du bilan s’élève à 1.029.863,23 € et le compte de résultats se solde au 31 décembre 2023 par une perte pour l’exercice de 10.632,34€. Il est à noter que la dotation ONSS relative à l’exercice 2023 se monte à ce stade à 198.983,53€.

Épinglons aussi le retour des intérêts bancaires, ce qui est loin d’être anecdotique vu la trésorerie du Fonds.

A propos des actions du fonds

  • Les conditions au soutien du Fonds

Depuis le lancement de sa première action en octobre 2019, le Fonds a conservé les mêmes conditions d’accès au soutien financier qu’il accorde. Le Comité de gestion s’est cependant donné pour objectif d’évaluer son premier plan d’action au cours du dernier quadrimestre 2023, cette démarche, ainsi que l’utilisation des moyens du Fonds, pouvant donc induire des prochaines modifications.

Pour rappel, le Comité de gestion avait dû régler la question des travailleur·euse·s (surtout les artistes et les technicien·ne·s) qui multiplient les contrats de courte durée auprès de différents employeurs… et qui sont indisponibles pour prendre part à une formation lorsqu’elles·ils sont en train d’exécuter un de ces contrats. Le Comité de gestion a donc imaginé une formule où, sans disposer d’un contrat de travail (CDI ou CDD), le·la travailleur·euse qui peut faire état de 30 journées de prestation au cours des 24 derniers mois précédant sa demande, est éligible, tout comme celles·eux, bien sûr, qui détiennent un contrat de type CDI ou CDD. Au regard des circonstances induites par la pandémie, la période d’inactivité a été immunisée, portant ainsi la période de référence pour les prestations à un total de 34 mois. Notons également que le soutien du Fonds est accordé une seule fois par année civile, la date de la demande faisant foi.

Indépendamment du soutien à des projets individuels, le Fonds peut également soutenir des accompagnements collectifs, également à raison d’un projet par an. C’est ici l’ancrage de la structure en Commission paritaire 304 francophone qui est mesuré, sans qu’il soit tenu compte des situations individuelles. Ainsi, des administrateur·rice·s, membres fondateur·rice·s ou collaborateur·rice·s épisodiques peuvent-elles·ils aussi participer à ces accompagnements collectifs.

  • Les formations générales et le catalogue Formaction

Le Comité de gestion du Fonds a continué à mettre à la disposition du secteur une sélection de modules figurant dans le catalogue Formaction, résultat de la fusion des catalogues de FeBi et de l’APEF (Formapef). Bien connu des autres secteurs du non marchand francophone dont le Fonds se trouve à l’APEF, le catalogue Formaction propose plus de 400 formations parmi lesquelles le Comité de gestion du Fonds 304 a réalisé une sélection de quelque 130 formations accessibles aux travailleur·euse·s des arts du spectacle. Les thématiques de la santé et la sécurité au travail et des relations internes aux équipes de travail ont été privilégiées. Le reste du catalogue devient aussi accessible pour les travailleur·euse·s des arts de la scène moyennant contribution financière.

Cette action a encore vu son succès décroître au cours de l’année 2023 : seules 2 travailleuses ont bénéficié de cette offre. Notons que 25 personnes se sont inscrites. Le nombre d’inscriptions ne débouchant pas sur une participation s’explique au moins partiellement par le succès général du catalogue dans les autres secteurs, beaucoup de formations étant rapidement complètes. Le secteur des arts de la scène n’a en tous cas pas la culture de réaliser son inscription dès l’ouverture du catalogue.

  • Les formations sectorielles

Le plan d’action du Fonds prévoit un large pan réservé aux formations sectorielles, c’est-à-dire aux formations construites par le secteur et plus particulièrement les Fédérations Professionnelles Représentatives (ex-ORUA). Un appel annuel aux propositions est ainsi lancé depuis septembre 2019. En 2022, 8 formations avaient vu le jour, ce chiffre est passé à 10 pour l’année 2023.

10 formations ont été proposées par l’ATPS à l’attention des technicien·ne·s, dont 1 a dû être annulée, et une autre a été proposée par Aires Libres au bénéfice des artistes circassien·ne·s. 56 personnes (+ 24%) ont bénéficié du soutien du Fonds dans ce cadre. Ces deux fédérations semblent être les seules à déposer chaque année une offre.

Ces différentes formations étaient ouvertes à un public de 6 à une quinzaine de personnes. En moyenne, un peu moins de 6 personnes par formation ont obtenu le soutien du Fonds. Nous entendons que, sans le soutien du Fonds, ces formations n’auraient pas été mises sur pieds par les fédérations. Mais elles profitent également à d’autres travailleur·euse·s : certain·e·s prennent eux·elles-mêmes en charge leurs frais d’inscription. Une douzaine de salarié·e·s du secteur socioculturel ont aussi pris part à ces formations stimulées par le Fonds 304, et bénéficié du soutien de leur Fonds social.

Ce programme a mobilisé un budget de 19.910€ (+ 35%) au bénéfice de 21 femmes et 35 hommes, soit un financement moyen de 355€ (+8%) par personne par formation. Dans ce contingent, 18 personnes étaient employées par une structure de la CP 304 et 38 étaient intermittentes.

  • Les formations spécialisées

Le plan d’action comporte un volet destiné à doter les travailleur·euse·s d’ « Une corde de plus à son arc ».

Il s’agit d’actions de formation mises en place par des opérateurs de formation de toutes provenances mais dont les produits contribuent à augmenter les compétences/connaissances des travailleur·euse·s des trois métiers du secteur (artistes, technicien·ne·s, administratif·ve·s).

C’est ce volet qui a enregistré la croissance la plus spectaculaire puisque le Comité de gestion a labellisé 16 formations (5 en 2022) en provenance de 12 opérateurs (3 en 2022). En 2023, 126 personnes (29 en 2022) ont bénéficié de cette action pour une somme totale de 46.860€ (14.240€ en 2022).

On y compte 98 femmes pour 28 hommes ; 29 salarié·e·s pour 97 intermittent·e·s.

  • Les formations propres au Fonds et la réforme du statut du travail des arts

L’augmentation du nombre de bénéficiaires de l’action du Fonds s’explique aussi par le rôle d’opérateur de formation qu’il a décidé de tenir pour la première fois en 2023.

Le Comité de gestion du Fonds a pointé deux thématiques aux enjeux sectoriels forts, sur lesquels il voulait être présent. La question de l’inclusivité et des genres d’une part (une formation suivie par 11 personnes), mais surtout la réforme du statut du travail des arts. Sur ce dernier point, le Fonds a mis les bouchées doubles pour que toutes les personnes concernées se voient offrir une information neutre, fiable et complète. Il a réalisé cet objectif en recourant aux compétences d’Anne-Catherine Lacroix, de l’atelier des droits sociaux, qui a su s’ériger en experte de la matière.

Elle a ainsi donné à quatre occasions dans des lieux divers de la Fédération Wallonie-Bruxelles une séquence d’information sur la réforme, pour un public de 67 personnes. Elle a également produit un fascicule reprenant cette information, qui se trouve sur le site du Fonds. Enfin, le Fonds a édité et publié 8 vidéos explicatives qui se trouvent également sur son site et sur sa nouvelle chaine youtube. Particulièrement didactique, ces vidéos ont été visionnées ensemble à près de 4.000 reprises.

Cette initiative s’inscrit dans la mission d’information que souhaite développer le Fonds.

  • Les accompagnements d’équipe à la gouvernance

Le volet ‘travailler en collectif’, qui vise à soutenir les structures et les équipes désireuses de mettre sur pied un accompagnement via l’intelligence collective a pu bénéficier à quatre équipes différentes. Celles-ci ont réalisé un choix parmi les offres qu’une douzaine d’opérateurs a spécialement élaboré pour le secteur dans le cadre d’un large appel d’offres. A côté de la thématique de la gouvernance, figurent aussi l’accompagnement à l’élaboration d’une charte éthique ou d’un plan de formation. Ces thématiques n’ont pas encore été exploitées.

Le soutien du Fonds a, pour cette action, été plafonné à 3.000€ par structure, 11.566€ y ont été consacrés.

  • Le dispositif Konvertigo et le bilan de compétences

L’action Konvertigo, la première du Fonds, lancée fin 2019, permettait à l’origine aux danseur·euse·s et circassien·ne·s de bénéficier d’un accompagnement pour faire le point sur la suite de la carrière, voire envisager une reconversion. La réflexion s’est poursuivie au sein du Fonds et avec le Comité d’accompagnement, composé d’expert·e·s des secteurs de la danse et du cirque, aboutissant à la décision d’ouvrir l’action à l’ensemble des artistes et technicien·ne·s, des besoins s’y faisant également sentir, peut-être renforcés par la situation d’inactivité. En 2023, 3 personnes ont bénéficié d’un accompagnement de ce type réalisé par le STICS. Néanmoins, cet opérateur a souhaité cesser ces accompagnements et n’a pas été à l’heure actuelle remplacé.

Le Comité de gestion a également pris la décision de lancer en 2021 une action complémentaire à Konvertigo, à savoir le Bilan de compétences. Celui-ci est perçu comme pouvant davantage convenir aux travailleur·euse·s administratif·ve·s, s’agissant d’une action pilotée au niveau de l’APEF à destination de l’ensemble des secteurs qu’elle couvre. Chaque candidat·e bénéficiaire a bien sûr le choix du dispositif dans lequel il souhaite s’inscrire, il semble néanmoins que les choix opérés confirment ceci, 7 travailleur·euse·s administratif·ve·s ayant demandé en 2023 un bilan de compétences pour un soutien total de 10.015,58€.

  • Prévention des risques psychosociaux

Le Fonds avait bénéficié en 2020 d’une subvention de 24.000€ dans le cadre de l’appel lancé par le CNT pour des projets de prévention du burn out. Cette action menée au niveau de l’APEF, prolongée sur base des moyens des Fonds, a fait place en 2023 à un projet plus large de prévention des risques psychosociaux, financé par un subside du SPF. Une structure du secteur a ainsi vécu un accompagnement.

Le projet comportait également un focus group spécifique au secteur des arts de la scène, qui a fait l’objet d’un rapport et qui ne devrait pas rester sans suite en 2024.

Enfin, toujours dans le cadre de ce projet, le Fonds a travaillé avec le CERSO à l’élaboration d’un questionnaire spécifique aux arts de la scène dans le but de réaliser une analyse des risques psychosociaux sectorielle. L’ambition est bien de récolter également la parole des travailleur·euse·s en intermittence aux côtés des salarié·e·s, courant 2024. Si le taux de participation est difficile à estimer, l’enjeu de taille est bien de mobiliser une partie des moyens du Fonds pour contribuer à l’émergence de solutions pour le secteur.

  • Les dispositifs Competentia et Parcours professionnel

Le Fonds 304 a mis à disposition du secteur le dispositif Competentia, un service d’appui à gestion des compétences pour les responsables d’équipe, et son pendant dédié aux travailleur·euse·s, Parcours professionnel. Le premier propose un site internet, un service-conseil de première ligne ainsi que des ateliers. En 2023, ce dispositif reste très peu utilisé par le secteur.

  • Un outil statistique : lemonmarchand.be

Le secteur des arts de la scène occupe une place à part et est complexe même pour qui y évolue. La typologie de l’emploi y est fortement différente que dans des secteurs plus conventionnels, et rares sont les données disponibles pour illustrer sa situation. C’est sûrement une des raisons qui ont mené le Comité de gestion à entreprendre, via le CERSO, une étude statistique sur le secteur et son emploi. Ce travail mené au long de l’année 2020 a été actualisé durant l’année 2022, avec la prise en compte des chiffres de l’emploi pour les années 2018 et 2019.

Ce travail statistique reste unique à ce jour malgré les déclarations d’intention, notamment de la Communauté française, qui avait évoqué le projet de réaliser une photographie de l’emploi culturel et artistique en Fédération Wallonie-Bruxelles avec l’appui de l’Observatoire des Politiques Culturelles.

L’étude lenonmarchand.be est disponible dans son intégralité sur le site web du Fonds.

En 2023, le CERSO travaille sur les chiffres des années Covid qui devraient être publiés en 2024.

  • La communication vers les bénéficiaires et l’identité du Fonds

Si les circonstances très particulières qui ont émaillé ces deux dernières années expliquent grandement un volume d’activité qui n’est pas celui qui avait été prévu, le manque de notoriété du Fonds a sans doute aussi réduit ses possibilités de toucher sa cible. Avec une première action (à destination d’un public réduit), et un nouveau nom fin 2019, le Fonds partait de nulle part pour trouver le contact avec les travailleur·euse·s et les structures du secteur.

L’année 2021 a été celle de la mise en ligne du site internet propre du Fonds, donnant ainsi à sa communication un outil performant et exhaustif. Si celui-ci devra encore être complété, il apporte les informations utiles sur la mission du Fonds, reprend l’intégralité des dispositifs et formations pour lesquels les travailleur·euse·s du secteur peuvent prétendre à un soutien, d’autres informations utiles parmi lesquelles l’étude complète sur l’emploi dans le secteur. Le site est tout entier rédigé en écriture inclusive et comporte une vidéo de présentation, petit spot ‘publicitaire et pédagogique’ d’une minute et trente secondes qui figure sur la homepage.

La notoriété du Fonds, élément central à la poursuite de ses missions, a ainsi progressé, aidée également par les contacts menés par le responsable administratif du Fonds avec les travailleur·euse·s et structures du secteur, le bouche à oreille pouvant désormais contribuer aussi à le faire connaitre de son public potentiel.

Le Fonds dispose aussi d’une page facebook qui est suivie fin 2023 par 500 followers. Il a aussi édité depuis janvier une newsletter, qui a connu 10 parutions sur l’année.

Enfin, une chaine youtube a été créée, elle abrite les vidéos d’information sur la réforme du statut du travail des arts.

  • Une réflexion sur les métiers en pénurie

La sortie du Covid s’est réalisée avec un impact significatif sur le métier de technicien·ne. Les difficultés de recrutement sont manifestes, une partie significative de la profession l’ayant quittée. Le Comité de gestion du Fonds a initié une réflexion sur la revalorisation du métier, et sur la nécessité de faire face à l’enjeu de taille que représente le passage à la technologie LED, celle-ci nécessitant l’organisation de formations qui tardent à être mises sur pieds.

Cette réflexion trouve un écho auprès de l’APEF qui s’est fixé comme priorité le dossier des métiers en pénurie. Des actions devraient naître sur ce volet en 2024.

  • La plateforme Dockers

Le Fonds a apporté son soutien à la plateforme de gestion administrative et d’aide aux droits sociaux Dockers, une initiative de quelques citoyens qui a immédiatement prouvé son utilité auprès de centaines de travailleur·euse·s des différents secteurs artistiques.

Cependant, malgré l’apport du Fonds à hauteur de 50.000€, conjugué à celui, de la Loterie Nationale et de la Région bruxelloise, la pérennité de la structure n’est pas garantie à ce stade. Des apports structurels devront être trouvés.

Dans ce contexte, le Fonds, sollicité à nouveau par Dockers, a examiné la possibilité d’un nouvel apport, mais aussi le rôle qu’il pourrait tenir pour s’assurer de nouveaux partenaires investisseurs. Le Fonds veillera aussi à ce que différentes pistes soient suivies pour générer des recettes via de nouveaux publics ou des subventions récurrentes.

  • L’élaboration d’un nouveau plan d’action et d’un nouveau ROI

Le Comité de gestion du Fonds souhaite se doter, pour 2024-2028, d’un nouveau plan d’action. Même si la période 2019-2023 a été très atypique, il a estimé qu’il était temps de faire le point et d’apporter les aménagements qu’il convient à l’observation de ces premières années de fonctionnement, et de formuler de nouvelles priorités.

Le Comité de gestion s’est ainsi mis au vert le 30 août pour la première étape de ce travail, à savoir la phase d’évaluation du fonctionnement et des actions. Il a entrepris ce travail avec l’aide de l’équipe Competentia.

Première incidence : le Comité de gestion a élaboré un nouveau ROI.

La suite, qui prendra place en 2024, prévoit un accompagnement du Bureau par Happy Team, lequel devra être poursuivi par l’appropriation de ce travail par tout le Comité de gestion qui traduira la matière dans un nouveau plan d’action.

Les bilan et comptes de résultat 2023